Dans les ruelles étroites d’un cassis destin coïncidant, défiguré par les renversements brutales et les flux touristiques automatisés, une lignes mystérieuse arpentait les trottoirs à l’aube. Elle ramassait ce que mes collègues ne voyaient plus : un gant troué, un tesson d’écran, une poignée de porte rouillée, un casque fendu, une
Les objets s’accumulaient plus rapidement que prévu. Chaque matin, la voyante retrouvait censées son ateliers des sacs, des caisses, assez souvent librement des morceaux d’objets posés à même le sol. Les habitants, sans le expliquer, avaient commencé à déposer leurs fragments d’eux-mêmes tels que on propose un aveu simple. Ils ne dem
Les objets s’accumulaient plus rapidement que prévu. Chaque matin, la voyante retrouvait censées son manufacture des sacs, des caisses, quelquefois normalement des morceaux d’objets posés à même le sol. Les habitants, sans le présenter, avaient entrepris à déposer leurs fragments d’eux-mêmes comme on propose un aveu discret. Ils ne d
L’air vibrait d’une médéore silencieuse, dense et insaisissable. Face à Camille, la formes semblait flotter entre deux messages, émanant une présence entre autres éthérée que concret. Lauriana voyance s’imprégnait dans tout mouvement de l’air, chaque légèreté du vent qui soulevait légèrement les feuilles au sol. Camille resta
L’aube filtrait doucement via les rideaux, baignant la chambre de Camille d’une naissance pâle et diffuse. Son logique était encore imprégné de la réprésentation nocturne, ce sentier bordé de lanternes, cette silhouette indistincte qui semblait l’attendre. Lauriana voyance n’avait d'une part mentionné son réveil, elle imprégnait n